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jeudi 18 mai 2006

anonyme

Une idée de l’art numérique. Sur le site http://www.anonymes.net/ L’ art c’est une idée. Certains l’utilisent dans sa poésie comme le collectif anonymes.net, sans donner de nom, ni le leur, ni aucun. Sur le net, tout est à tout le monde : l’univers à porter de main, porter de « clic ». L’art à la portée de chacun. L’art s’est uni dès qu’on a exagéré son sens. Il s’est uni à lui même dès qu’on l’a délibérément dramatisé, et c’est ce qui l’a fait se perdre au-delà de ce que nous connaissons. Peut être n’aurions nous pas dû. Ouvrir autant les portes. Peut-être n’aurions nous pas dû nous en faire une idée : de l’art. C’est le propre des idées que d’abuser de la liberté qu’on n’a pas eu le choix de leur donner. Alors elles s’envolent plus loin et plus haut que ce qu’on leur aura jamais permis, tout en restant secrètement reliées à notre esprit par un long fil fin et transparent… Et tirer dessus pour nous titiller, c’est un de leur jeu favoris : C’est ce que tentent à faire le groupe anonymes.net. Je les ai choisi eux plus spécifiquement pour leur originalité, poésie, esprit rétro, simplicité et efficacité. Pourquoi ne pas faire une petite pose sur le net et savourer sans retenues l’alliance d’un collectif et de l’inter activité. Surtout lorsque celui ci nous parle de poésie ? Le questionnement sans cesse constant sur la place de l’art nous fait oublier, que parfois, il suffirait de respirer un peu l’odeur des choses, même celles aussi plates qu’un écran d’ordinateur. Que l’art au même titre que ce qui nous anime est une idée, une sensation douce, brusque, qu’importe, l’art est révélateur. Les idées sont des cerfs-volants ultras résistants. Lorsque cette idée a décidé de devenir « art » elle n’en fait plus qu’à sa guise, car elle sait à quel rang on l’a placée… Un péché d’orgueil accepté Dans ce site les créateurs se jouent d’eux mêmes, de nous, de leur médium , de tout. L’idée s’enfuit s’envole devient légère. Peut être avons nous donné trop de mou au fil ? Peut être avions nous de tels à priori envers l’art, que nous l’aurions émancipé un peu vite, en le laissant s’échapper à l’infini ? L’essentiel est de ne pas oublier de voir, sous la couche de vanités, ce modeste cerf-volant de papier, qui n’a reçu son ultime glorification que parce qu’un jour, l’homme a décidé de le laisser s’envoler bien plus haut qu’il n’aurait été capable de l’imaginer… Pourquoi me direz vous ? Pour le rêve, peut être… Car l’art est avant tout un rêve : un rêve que l’on se doit d’exagérer, de peur qu’il n’expire. A moins qu’il n’inspire un art qui vive et qui devrait son salut à la démesure de son idée. L’universelle rencontre de la sensibilité et de la machine. De moi,vous, nous, … Acosta Elsa deuxième année d’Arts Plastiques

anonyme

Une idée de l’art numérique. Sur le site http://www.anonymes.net/ L’ art c’est une idée. Certains l’utilisent dans sa poésie comme le collectif anonymes.net, sans donner de nom, ni le leur, ni aucun. Sur le net, tout est à tout le monde : l’univers à porter de main, porter de « clic ». L’art à la portée de chacun. L’art s’est uni dès qu’on a exagéré son sens. Il s’est uni à lui même dès qu’on l’a délibérément dramatisé, et c’est ce qui l’a fait se perdre au-delà de ce que nous connaissons. Peut être n’aurions nous pas dû. Ouvrir autant les portes. Peut-être n’aurions nous pas dû nous en faire une idée : de l’art. C’est le propre des idées que d’abuser de la liberté qu’on n’a pas eu le choix de leur donner. Alors elles s’envolent plus loin et plus haut que ce qu’on leur aura jamais permis, tout en restant secrètement reliées à notre esprit par un long fil fin et transparent… Et tirer dessus pour nous titiller, c’est un de leur jeu favoris : C’est ce que tentent à faire le groupe anonymes.net. Je les ai choisi eux plus spécifiquement pour leur originalité, poésie, esprit rétro, simplicité et efficacité. Pourquoi ne pas faire une petite pose sur le net et savourer sans retenues l’alliance d’un collectif et de l’inter activité. Surtout lorsque celui ci nous parle de poésie ? Le questionnement sans cesse constant sur la place de l’art nous fait oublier, que parfois, il suffirait de respirer un peu l’odeur des choses, même celles aussi plates qu’un écran d’ordinateur. Que l’art au même titre que ce qui nous anime est une idée, une sensation douce, brusque, qu’importe, l’art est révélateur. Les idées sont des cerfs-volants ultras résistants. Lorsque cette idée a décidé de devenir « art » elle n’en fait plus qu’à sa guise, car elle sait à quel rang on l’a placée… Un péché d’orgueil accepté Dans ce site les créateurs se jouent d’eux mêmes, de nous, de leur médium , de tout. L’idée s’enfuit s’envole devient légère. Peut être avons nous donné trop de mou au fil ? Peut être avions nous de tels à priori envers l’art, que nous l’aurions émancipé un peu vite, en le laissant s’échapper à l’infini ? L’essentiel est de ne pas oublier de voir, sous la couche de vanités, ce modeste cerf-volant de papier, qui n’a reçu son ultime glorification que parce qu’un jour, l’homme a décidé de le laisser s’envoler bien plus haut qu’il n’aurait été capable de l’imaginer… Pourquoi me direz vous ? Pour le rêve, peut être… Car l’art est avant tout un rêve : un rêve que l’on se doit d’exagérer, de peur qu’il n’expire. A moins qu’il n’inspire un art qui vive et qui devrait son salut à la démesure de son idée. L’universelle rencontre de la sensibilité et de la machine. De moi,vous, nous, … Acosta Elsa deuxième année d’Arts Plastiques

mardi 9 mai 2006

HUTCHINSON

Quand la musique éléctronique s'accouple avec l'image numérique...

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vendredi 28 avril 2006

article sur Reynald Drouhin par cora Mestron

Reynald Drouhin Biographie : Reynald Drouhin Né à Paris. Reynald Drouhin vit et travaille à Paris et à Rennes. Artiste travaillant à partir des pratiques numériques de la vidéo, photographie et du net, il a suivi des études d'arts plastiques aux Beaux-Arts de Paris (DNSAP) et à l'Université Paris 1 (Maîtrise, DEA) puis au Mastère Hypermédia Multimédia. Reynald Drouhin a présenté son travail en 2004 à “New Forms Media Festival” à Vancouver, à la Basekamp Gallery à Philadelphie, à Confluences (Avril.exe) en 2003, à ISEA 2000 à Paris, au festival international d'arts multimédias urbains à Belfort, à la biennale 2000 à Montréal et à la manifestation internationale vidéo & art électronique organisée par Champ Libre en 1999. Il a également participé à ISEA 97 Chicago, à Imagina à Monaco (1998). Il a reçu plusieurs prix et mentions dont le prix “Mad 03 Net” aux Rencontres Internationale d'Art Expérimental à Madrid, le Grand Prix Scam de l'oeuvre d'art numérique interactive, le Grand Prix Création numérique et le Prix spécial du jury Toshiba en 2003, le Prix vidéo du FIAV à Tanger en 2001, le Grand Prix au Cyberfestival à Rueil-Malmaison ainsi que le prix Multimédia de la DRAC Auvergnes-Vidéoformes en 1999. Il a accompli plusieurs résidences: au C3 à Budapest, au CICV à Belfort, à Européo en Italie et à Carnegie Mellon University à Pittsburgh. Actuellement, Il est artiste-enseignant aux Beaux-Arts de Rennes et membre du collectif Incident.net. ŒUVRES : DES FRAGS 2000-2001 Matrice d images faite en mosaïque, recyclage d images Cette œuvre est participative, c est a dire qu’ elle est élaborée grâce a la participation d internautes internaute est invité a fournir une image et a déterminer un certain nombre de choix, de réglages pour produire une nouvelle image recomposée. Le procédés des Frags est de recalculer une image source grâce a un moteur de recherche d images sur Internet a partir de fragment d images trouvées ;ces images trouvées correspondent à un mot clé choisit par le visiteur. Dans cette œuvre par une multitude d images organisées l artiste recompose un visage, de prés on voit qu il est formé de fragments mais au loin, on ne s en aperçoit pas de suite. Ce projet utilise des ressources disponibles sur le net pour leur faire dire autre chose que leur premier message artiste utilise des outils existant et disponible sur le web , les met en relation pour en faire une œuvre finale. Le mot Frags signifie défragmentation du réseau internet. Cette œuvre met en relation une multitude d information qui navigue sur la toile du web. On peut la comparer a une matrice .Drouhin use de ce procédé dans nombre de ces œuvres misent en ligne. On le voit dans Timescape ou des fragments d images gommées sont rendus perceptibles par leur nombre,leur répétition et leur contrastes , l image matrice est recomposée. Autre œuvre : ARBRES 2004 Toujours sur le même procédé des Frags. Cette œuvre traite de la fragmentation et de la défragmentation de l image artiste prend des images premières les modifie et les détournent tout comme dans Frags pour leur faire dire autre chose. Dans cette œuvre les images misent en relation sont des images T-V de manifestant Grenoblois occupant des arbres afin d empêcher leur destruction artiste les met en relation avec une image matrice. Cette dernière représente une photographie d arbres du bois de Vincennes. A la différence de Frags, les données sont imposées par l artiste, elles ne mettent pas en jeu le visiteur. Cette œuvre a été réalisée pour la thématique « Nature Morte » du site web incident.net. Les zooms permettent de découvrir les scènes violentes des manifestants face à la police ;gros contraste entre le calme de la forêt et ces scènes. Les images insérées donnent une tout autre information que celles de la matrice :nature/civilisation ;vivre/sauver ;exister/revendiquer ; police/manifestants ;nature/morte. Drouhin un artiste numérique A notre époque l image est partout,pub,art,information…elle peut se détourner de mille et une manières.Le montage(donc aussi le démontage, le fragment) a introduit au début du 20em siècle,la discontinuité de l espace et du temps dans l œuvre d art ,dépendante de ses médiums(peinture,sculpture,littérature, musique,cinéma).Au jour d aujourd Hui et ce depuis quelques temps, l art numérique en fait partie et peut être même plus que tout autre car le montage et démontage de l œuvre concerne le moment ou l œuvre perd ses limites,Internet est bien un médium illimité, permettant multiple possibilités pour réaliser une œuvre.l art numérique fait perdre ses limite a l art,permettant a quiconque pour les œuvre participatives de rentrer dans le montage de ces dernières.Les images misent en relation dans Frags sont tel un collage réalisé par les visiteurs sur un concept de départ orchestré par internet.L artiste utilise les fragments d images( qui change le sens premier de ces dernières) afin de les mettre en scène ou de les faire mettre en scène dans une matrice et en faire une œuvre reconstituée,tel un collage. Ces œuvres sont comme des puzzles pouvant s organiser de différentes manières.Le fragment permet de changer le sens même de l image de départ pour lui faire dire peut être même l inverse lorsque qu il est mis en relation avec d autres fragments venant d autres images. Drouhin est un artiste numérique car il met en interactivité ses œuvres, aussi il permet ou plutôt Internet lui permet de faire entrer en action des internautes sur son œuvre. L art numérique fait perdre le coté personnel(pour les œuvres participatives)d une oeuvre :un auteur/une œuvre, il ouvre les œuvres au monde ;l art au monde,lui permettant de sortir des galeries pour aller dans chaque maison,sur chaque ordinateur, avec la possibilité d évoluer avec chaque internaute. Intentions, ressentis j ai choisi cet artiste afin de mieux comprendre l idée du fragment en art numérique.l art est ouvert au monde mais nombre de personne ne vont pas dans les musées et Internet leur permet de se déplacer dans des musés virtuels.Les visiteurs participants a des œuvres participatives ne sont pas forcément des artistes plasticiens et des artistes comme Drouhin leurs permettent de rentrer dans le vif même d une œuvre.En général nous sommes spectateurs d une œuvre, dans Frags nous pouvons être acteur de l œuvre ;nous devenons sujet agissant sur l œuvre. Dans Frags, j aime la finalité harmonieuse que donne une multitude de fragment mis en corrélation, a partir de fragments qui n ont peut être rien a voir l artiste réussit a sortir (par des manipulation d images,des opérations…)un tableau très cohérent. Le procédé parait en apparence simple,mais le rendu parfait montre toute sa difficulté. On ne voit pas a première vue tous ces fragments d images et c est la que réside la perfection du concept de l artiste. Dans la deuxième œuvre Arbres, l opposition violence/ paix qui règne dans cette atmosphère bleuté d apparence calme, est très bien retranscrite.A l opposition de Frags,les fragments ne sont pas la pour ne pas être vus , pour donné une matrice image d ensemble ;non les zooms ne sont pas la par hasard, Drouhin se place en tant qu auteur, mais surtout en tant qu adhérant aux idéaux des manifestants contre la destruction des arbres.Les fragments d images T-V nous donnent une vision négative de la police essayant de faire descendre des arbres les manifestants, l œuvre nous donne la pensée subjective de l artiste sur ces évènements.

samedi 4 février 2006

en lien avec le travail sur le portrait

je viens de voir le site "incident" et j'ai bien aime les textes sur le nu mais surtout sur le portrait . En effet le portrait n'est pas seulement l'étre humain mais la personne au fond d'elle son intérieur secret . Une citation en rapport avec le devoir " tout est là en surface : épiderme comme apparition". Pour moi mais je pense pour beaucoup d'autres les images que vous allez recolter sur internet montre vos gouts se qui vous passionnent et que l'on ne peut deviner en vous regardant . Avec se portrait fait de superposition de couches d'images nous nous fabriquons un nouvelle épiderme " nous sommes à fleur de peau" C'est un portrait intime ! Pauline

lundi 30 janvier 2006

Image numérique//Image réseau


Je reviendrais durant le cours sur les notions et les spécificités de l'image numérique. Mais je vous renvois, dès à présent sur les textes théoriques suivants: En effet, les textes d'Edmond Couchot me paraîssent importants et vous permettront une approche théorique.
SUJET,OBJET,IMAGE De l'optique au numérique (1987)
LE TEMPS REEL (1985)
Ca me paraît là encore, des fondamentaux.
Le texte suivant parle du net. Le titre peu paraître obscure mais j'y ai vu une relation à l'exercice//sujet du portrait planétaire...en tout cas, il parle relativement clairement de ce qui se joue en terme de contenu au sein de l'idée de réseau. En plus, il y a un petit lexique assez simple sur ce qu'est un blog, la blogosphère etc...Bref, à lire...
Le Net : vers une cartographie sémantique et sociale.