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projet final Cora Mestron

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le fragment

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pffff

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Golan Levinest un artiste, un compositeur et un ingenieur interessé par le développements d'artéfacts et d'évènements qui explorent de nouveaux modessouples d'expréssion réactive. Son travail est centré sur la conception de systèmes pour la création, la manipulation et l'exécution de l'image et du son en simultané, en tant qu'éléments d'une enquête plus générale sur le language formel de l'interactivité, et des protocoles de transmissions non-verbales dans les systemes cybernétiques. A travers la création (souvent avec collaborateurs) de performances, d'artefactes numériques et d'environnements virtuels, Levin utilise de manière créatrice les technologies numériques afin de mettre en lumière notre rapport avec les machines, ainsi que nos modes d'interaction les uns avec les autres, et d'explorer les liens entre la communication et l'interactivité. Le travail de Levin comprend des oeuvres en ligne, des installations et des performences.Il est connu pour la conception et la création de Dialtones,un concert dont les sons étaient entièrement exécutés par les sonneries soigneusement corégraphiées des téléphones portables des membres de l'assistance, et pour The Secret Lives of Numbers, une visualisation interactive en ligne de données présentées à la Whitney Biennale en 2004. Auparavant, Levin s'était mérité un prix de distinction au Pris Ars Electronica pour son logiciel interactif Audiovisual Environment Suite, ainsi que pour la performance audiovisuelle qui l'accompagnait,Scribble. Plus recemment, Levin et son collaborateur Zachary Lieberman ont présenté la première de Re:mark, un installation interactive, etMessa di Voce, une performance en nouveau médias. Levin est diplomé du MIT Média Laboratory, ou il à étudié avec John Maedaau sein duAesthetics and Computation Group. Il a aussi travaillé pendant quatre ans en tant que concepteur dans le domaine de l'interactivité et égalemnt comme chercheur à Interval Research Corporation. Levin est présentement professeur auxiliaire en arts électroniques à Carnegie-Mellon University; il y est représenté par la galerie Biforms, à New York.

Une idée de l’art numérique. Sur le site http://www.anonymes.net/ L’ art c’est une idée. Certains l’utilisent dans sa poésie comme le collectif anonymes.net, sans donner de nom, ni le leur, ni aucun. Sur le net, tout est à tout le monde : l’univers à porter de main, porter de « clic ». L’art à la portée de chacun. L’art s’est uni dès qu’on a exagéré son sens. Il s’est uni à lui même dès qu’on l’a délibérément dramatisé, et c’est ce qui l’a fait se perdre au-delà de ce que nous connaissons. Peut être n’aurions nous pas dû. Ouvrir autant les portes. Peut-être n’aurions nous pas dû nous en faire une idée : de l’art. C’est le propre des idées que d’abuser de la liberté qu’on n’a pas eu le choix de leur donner. Alors elles s’envolent plus loin et plus haut que ce qu’on leur aura jamais permis, tout en restant secrètement reliées à notre esprit par un long fil fin et transparent… Et tirer dessus pour nous titiller, c’est un de leur jeu favoris : C’est ce que tentent à faire le groupe anonymes.net. Je les ai choisi eux plus spécifiquement pour leur originalité, poésie, esprit rétro, simplicité et efficacité. Pourquoi ne pas faire une petite pose sur le net et savourer sans retenues l’alliance d’un collectif et de l’inter activité. Surtout lorsque celui ci nous parle de poésie ? Le questionnement sans cesse constant sur la place de l’art nous fait oublier, que parfois, il suffirait de respirer un peu l’odeur des choses, même celles aussi plates qu’un écran d’ordinateur. Que l’art au même titre que ce qui nous anime est une idée, une sensation douce, brusque, qu’importe, l’art est révélateur. Les idées sont des cerfs-volants ultras résistants. Lorsque cette idée a décidé de devenir « art » elle n’en fait plus qu’à sa guise, car elle sait à quel rang on l’a placée… Un péché d’orgueil accepté Dans ce site les créateurs se jouent d’eux mêmes, de nous, de leur médium , de tout. L’idée s’enfuit s’envole devient légère. Peut être avons nous donné trop de mou au fil ? Peut être avions nous de tels à priori envers l’art, que nous l’aurions émancipé un peu vite, en le laissant s’échapper à l’infini ? L’essentiel est de ne pas oublier de voir, sous la couche de vanités, ce modeste cerf-volant de papier, qui n’a reçu son ultime glorification que parce qu’un jour, l’homme a décidé de le laisser s’envoler bien plus haut qu’il n’aurait été capable de l’imaginer… Pourquoi me direz vous ? Pour le rêve, peut être… Car l’art est avant tout un rêve : un rêve que l’on se doit d’exagérer, de peur qu’il n’expire. A moins qu’il n’inspire un art qui vive et qui devrait son salut à la démesure de son idée. L’universelle rencontre de la sensibilité et de la machine. De moi,vous, nous, … Acosta Elsa deuxième année d’Arts Plastiques

Une idée de l’art numérique. Sur le site http://www.anonymes.net/ L’ art c’est une idée. Certains l’utilisent dans sa poésie comme le collectif anonymes.net, sans donner de nom, ni le leur, ni aucun. Sur le net, tout est à tout le monde : l’univers à porter de main, porter de « clic ». L’art à la portée de chacun. L’art s’est uni dès qu’on a exagéré son sens. Il s’est uni à lui même dès qu’on l’a délibérément dramatisé, et c’est ce qui l’a fait se perdre au-delà de ce que nous connaissons. Peut être n’aurions nous pas dû. Ouvrir autant les portes. Peut-être n’aurions nous pas dû nous en faire une idée : de l’art. C’est le propre des idées que d’abuser de la liberté qu’on n’a pas eu le choix de leur donner. Alors elles s’envolent plus loin et plus haut que ce qu’on leur aura jamais permis, tout en restant secrètement reliées à notre esprit par un long fil fin et transparent… Et tirer dessus pour nous titiller, c’est un de leur jeu favoris : C’est ce que tentent à faire le groupe anonymes.net. Je les ai choisi eux plus spécifiquement pour leur originalité, poésie, esprit rétro, simplicité et efficacité. Pourquoi ne pas faire une petite pose sur le net et savourer sans retenues l’alliance d’un collectif et de l’inter activité. Surtout lorsque celui ci nous parle de poésie ? Le questionnement sans cesse constant sur la place de l’art nous fait oublier, que parfois, il suffirait de respirer un peu l’odeur des choses, même celles aussi plates qu’un écran d’ordinateur. Que l’art au même titre que ce qui nous anime est une idée, une sensation douce, brusque, qu’importe, l’art est révélateur. Les idées sont des cerfs-volants ultras résistants. Lorsque cette idée a décidé de devenir « art » elle n’en fait plus qu’à sa guise, car elle sait à quel rang on l’a placée… Un péché d’orgueil accepté Dans ce site les créateurs se jouent d’eux mêmes, de nous, de leur médium , de tout. L’idée s’enfuit s’envole devient légère. Peut être avons nous donné trop de mou au fil ? Peut être avions nous de tels à priori envers l’art, que nous l’aurions émancipé un peu vite, en le laissant s’échapper à l’infini ? L’essentiel est de ne pas oublier de voir, sous la couche de vanités, ce modeste cerf-volant de papier, qui n’a reçu son ultime glorification que parce qu’un jour, l’homme a décidé de le laisser s’envoler bien plus haut qu’il n’aurait été capable de l’imaginer… Pourquoi me direz vous ? Pour le rêve, peut être… Car l’art est avant tout un rêve : un rêve que l’on se doit d’exagérer, de peur qu’il n’expire. A moins qu’il n’inspire un art qui vive et qui devrait son salut à la démesure de son idée. L’universelle rencontre de la sensibilité et de la machine. De moi,vous, nous, … Acosta Elsa deuxième année d’Arts Plastiques

le fragment

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(fragment du) projet sur le fragment à partir du sujet "2 dans le même temps".

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Linda Bergkvist

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un projet d'infographie en relation avec le projet de vidéo avec pour thème "deux dans le meme temps".

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La présentation de mon projet fragment se lie au film réalisé en vidéo sur le thème de "deux dans le même temps". Le portrait, fil conducteur de la vidéo, se transforme et se transfère dans le projet fragment. Prise de vue photographique déterminant un morceau de temps, figé par le médium. Par ailleurs, le fragment, c'est à dire une photographie définit le départ d'une suite logique. En effet chaque prise de vue en "mitraillette" amène à une suite d'actions décomposées. Ceci établit dans différent espaces, fragments d'espaces, de pièce à vivre. Chaque photographie est donc par définition un fragment de temps composé alors de différents mouvement mis en défilement ceci établit dans différents espaces. L'interactvité est définit par essence par les actions des internautes, chaque pressions établit sur la souris amènent une présentation d'une photographie ou d'une suite d'image d'une autre personne. L'internaute définit donc le nombre de personnes qu'il désira voir. Ceci à l'infini. Chaque action de l'internaute conduira donc a un changement d'image. Comment le sujet pourrait-il évoluer ? Prendre une suite de photographie précise, déterminant un monologue du personnage photographié, réellement en mitraille ( que l'utilisation du numérique m' a empéché de réellement réaliser). Intégrer donc du son, des mots, des phrases fragmentées. L'internaute n'en aurait pas une lecture directe, il faudrait qu'il agisse et cela au bon moment pour ainsi avoir une lecture complète des mots. Le texte n'est pas encore définit. Entre poésie et "drôlerie textuelle". J'aimerai aussi certainement des fragment de visage, bouche, joues, lèvres, yeux, sourcils, oreilles, tout en les confrontant aux portraits complets, mais quoi est à qui ?Il est même possible que seul des fragments de visage soit affiché et qu'au moment du clic de l'internaute, le visage s'affiche en flash jusqu'a disparition du sujet dans un espace définit. Mon projet est aussi une continuité du projet du 1er semestre sur l'anonymat, l'internaute va a la rencontre de personnes, dont je lui donne différentes vues, différentes visions, différents fragments, le côté fantasque que seul la connaissance d'une personne nous permet de connaître. Faire voir, peut être vouloir les rencontrer. J'ai dans l'idée de permettre aux internautes par une boîte e-mail où ils auraient la possibilité d'envoyer leur photos qui seraient alors insérer au clip diffusé sur internet, les images intimes deviendrait alors mondiales. Voilà alors le but de mon projet, de cette esquisse réfléchie qui n'a pu pour l'instant s'executer entièrement de part ma non posséssion d'ordinateur. Des visages mélés, des mouvements décomposés,recomposés, des mots coupés, mélant anonymat et rictus familier dans des espaces de plus en plus vaste.

A ameliorer mais voila une premiere ebauche du travail...

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Le coupé-décalé n'est pas qu'une danse africaine...

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dernier essai...réussi!!!! http: //www.monsieurmathieu.com/index.php?newVARlegend=

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Ce projet fragment est en premier lieu, la capture de deux fragments d'images ayant leur propre temporalité. Les deux vidéos sont: _ un arbre _ l'eau

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